Warning: Constant WP_CRON_LOCK_TIMEOUT already defined in /htdocs/guycouturier.fr/wp-config.php on line 97
La violence envers les femmes (2/3) - Guy Couturier, explorateur d'idées, essayiste

La violence demeure naturelle chez les êtres humains. Mais les sociétés pallient cet état originel en fonction de leur propre niveau de civilisation. (culture, éducation, façon de vivre au quotidien…). Par exemple, quand de nouveaux arrivants entrent dans une communauté différente, sans qu’on prenne la peine de leur enseigner. Des différences de culture (sur les femmes occidentales). Soit. Ils prennent leurs mœurs, leurs façons de s’habiller. (Des Leggings, des « crop top », ou le (« gilet bedaine » chez nos amis Canadiens) de leurs hôtes comme une permissivité. Cela les incite à en abuser par de la violence :

Des Violences

  • À l’exemple des 2 000 agressions sexuelles du Nouvel An 2016 à Cologne. Commises par 1 500 migrants alcoolisés. Si en face on n’oppose pas une “violence” légale suffisante pour maintenir l’ordre. Alors éclate l’agressivité des agresseurs et engendre des dommages sur la population. Ceux qui arrivent chez nous non pas pour s’assimiler, mais pour nous remplacer le font avec violence. Si on laisse agir ces agresseurs ils seront plus enclins à s’imposer par encore plus de violence.
  • La perception des violences commises sur les femmes, en Afghanistan, au Zaïre par exemple … diffèrent de celles commises en occident.

En moyenne, dans le monde, plus de 5 femmes ou filles sont tuées toutes les heures, souvent par une personne de leur propre entourage :

  • Ces violences se pratiquent pour des raisons culturelles dans des sociétés traditionnellement paternalistes, voire machistes ;
  • Elles représentent des faits naturels inscrits dans la société ;
  • Elles peuvent dépendre du niveau d’instruction ou d’une certaine éducation.

Le wokisme,

Sous prétexte de défense des minorités, le wokisme peut aboutir à une certaine violence physique et psychologique ;

  • Il déstabilise des enfants, en quête d’identité de genre, en leur incitant très jeunes des interrogations sur leur sexe. Il les incitent trop tôt à des choix irréversibles qui risquent de les handicaper plus tard par des mutilations sur leurs organes sexuels ;
  • Ces violences jouissent encore de la part de beaucoup d’une certaine tolérance. Une liberté de moeurs !

Principales violences sexuelles (souvent institutionnalisées) :

  • La recherche d’un renforcement du plaisir sexuel masculin. Vagin plus sec. Afin de ressentir, pour certains, des sensations plus intenses, à la limite de la douleur ;
  • La femme reste à la disposition des envies sexuelles des hmmes
  • La culture de parents qui craignent que leur fille ne soit plus bonne à marier ;
  • La volonté que la femme ne ressente plus aucun plaisir sexuel. Et ainsi, ne soit pas tentée par un désir à l’extérieur. Afin qu’elle n’aille pas rechercher du plaisir avec d’autres hommes ;
  • Des bouleversements climatiques , des conflits, des famines.

Les coûts de la violence

La violence engendre un coût. Des coûts directs et indirects. Par exemple, le coût des salaires des personnes qui travaillent dans les centres d’accueil représente un coût tangible et direct. Les coûts sont supportés par toute la communauté, y compris les victimes/survivantes :

–        Au Viet Nam. La somme des dépenses personnelles et des pertes de revenus représente près de 1,41 pour cent du produit intérieur brut (PIB) ;

–       En Égypte, on estime à 500 000 jours de travail perdus chaque année en raison de la violence au sein du mariage ;

–       Au Maroc, le coût total des violences physiques et/ou sexuelles à l’égard des femmes a été estimé à 2,85 milliards de dirhams. (Soit environ 308 millions de dollars) par an ;

–       En 2021, le coût des violences sexuelles dans l’ensemble de l’Union européenne ont été estimées à environ 366 milliards d’euros par an.

Les principales causes des mutilations sexuelles traditionnelles :

  • Aux États -Unis. Après le passage de l’ouragan Katrina en 2005, le taux de viol parmi les femmes déplacées dans les parcs pour caravanes se multipliera par 53 ;
  • Lors du tremblement de terre de 2015, Le Népal connaîtra une augmentation de la traite des êtres humains. Elle augmentera d’environ de 3 000 cas à 20 000 par an après le tremblement de terre de 2015 ;
  • En Éthiopie, le nombre de filles vendues dans le cadre d’un mariage précoce. En échange de bétail pour aider les familles à faire face aux conséquences de sécheresses prolongées augmentera fortement.

Ces violences subies par les femmes constituent  les violations des droits humains les plus répandues dans le monde.

Les causes, et la gravité des sévices à l’égard des femmes dépendent principalement de critères géographiques ou culturels :

« La violence constitue l’arme des faibles ».

La notion de violence faites aux femmes diffère :

  • Si celles -ci se déroulent en Afghanistan, au Zaïre ou en Europe.
  • Les violences culturelles, dans des sociétés traditionnellement paternalistes. Où la simple galanterie qui sera perçue comme une tentative de domination ;
  • Selon le niveau d’instruction. Par exemple le wokisme des néo-féminismes, qui sous prétexte de liberté et d’égalité, peut aboutir à une certaine violence psychologique. Quand celui-ci est poussé par une idéologie extrémiste ;
  • Par des idées destructrices ayant pour résultat de séparer les femmes des hommes. Voire de supprimer la nature des genres : « qu’est-ce qu’une femme ? » Ou de s’opposer par principe à tous les hommes, les fameux « mâles blancs » qui seraient, par essence, violents envers les femmes.
  • De déstabiliser des enfants, en quête d’identité de genre, en leur incitant des interrogations de genre ; embarrassantes pour leur âge. Et de les inciter trop tôt à des choix irréversibles qui risquent de les handicaper plus tard (mutilations sur les organes sexuels).
Partager: