En France, Michel Rocard (dans une émission de 7/7 avec Anne Saint Claire, en décembre 1989. Il énonça pour la première fois la fameuse formule : « La France ne peut pas accueillir toute la misère du monde ». Reformulée depuis plusieurs fois par lui-même. Puis reprise par maintes autres personnes politiques ou commentateurs de différents médias, de tous bords.

Aujourd’hui, nous pourrions compléter cette formule historique en lui donnant une autre dimension. « La France ne peut pas accueillir tous les détraqués du monde ».

36 % des “nouveaux entrants” souffriraient de troubles psychiques (troubles post traumatiques …).

Depuis longtemps, En France, nous pouvons nous honorer d’être une terre d’accueil. Et c’est très bien, car cela nous a permis de rayonner “nos lumières, nos valeurs” partout dans le monde. Mais nos bons sentiments sont dévoyés et risquent de nous “décivilitionner”. De rompre la bonne harmonie entre ceux qui vivent déjà en France :

Par exemple

Nous en avons un exemple dramatique récemment à Annecy où un étranger Syrien (vivant dans un foyer depuis 8 mois), est venu attaquer un jardin d’enfants. Pour poignarder, quatre enfants de moins de deux ans, dans leur poussette !

Je pourrais formuler bien d’autres cas dans l’actualité récente, qui font qu’en France une grande majorité des citoyens (environ 80 %) souhaiteraient limiter, contrôler, restreindre voire supprimer totalement tout droit de venir vivre chez nous !

Les réactions

Celles-ci ont été rapidement unanimes en France. Avec la stupeur générale, les vives indignations dans des propos, ceraines minutes de silence à l’Assemblée Nationale, des émouvants dépôts de fleurs, des bougies …

Nos hommes politiques, journalistes et autres commentateurs sur les réseaux sociaux, comme d’habitude, vont s’empresser des diverses récupérations habituelles !

Que faire en France ou chez moi ?

Mais cela est-il suffisant pour que cette tragédie ne se renouvelle pas en France ou en Europe même? Pas sûre ! Il nous faut protéger notre territoire, notre culture, notre façon de bien vivre. (Je viens aussi de formuler d’n “y a qu’à” bien classique. Mais n’étant pas aux affaires, je ne puis faire que de donner mon simple avis de citoyen à tous ceux qui sont en charge de décider d’actions).

Je peux aussi aussi exprimer qui je souhaite inviter et recevoir chez moi. Dans ma zone de confort. Les gens qui me sont compatibles c’est à dire :

• Les gens que j’aime côtoyer ;
• Ceux qui me respectent qui ne constituent pas un risque de violence pour moi, ma famille et dans mon domicile…
• Les personnes qui acceptent de partager mon mode de vie et ne pas m’imposer leur culture et leur programme de télé ;
• Ceux avec qui je pourrais avoir le désir de discuter ou de vivre ensemble, chez moi ;
• Enfin, seuls ceux que je serais en mesure de recevoir dignement (espace et finance).;

Nos conditions d’admission

Ces critères au droit d’Asile chez-nous peuvent correspondent à des milliards de personnes à travers le monde. Peut-on les accueillir tous ? Non bien sûr, nous n’en avons pas les moyens. Alors pourquoi comme critères les autorités, avant d’accepter une demande d’asile, ne se pose-t-elles pas les questions (fondamentales) :

• Ces candidats à notre Paradis son-ils bien compatibles à s’adapter à notre société Française , à notre mode de vie ?
• Avons-nous les moyens physiques ou financiers de bien les accueillir dignement ?
• Ou en quoi leur admission chez nous, peut-elle nous être utile pour mon pays ou avoir des chances de bien s’assimiler ?
• L’état de notre service de santé (psychiatrique) peut-il traiter toux ceux qui par le monde nécessiteraient de tels soins en venant (ou en étant poussés à venir en France pour se faire soigner) ?
• Pourquoi nos autorités (police…) n’ont-elles pas accès aux fichiers européens des détenteurs de droit d’asile, ni à leurs informations judiciaires, ni encore aux empreintes digitales des demandeurs d’asile des autres pays d’Europe ?

Chez-moi, comme en France

J’inviterais volontiers :

• Les gens qui parlent ou qui pourraient parler rapidement ma langue ;
• Ceux qui respecteraient mon mode de vie ou qui seraient capable de le suivre. Sur des points fondamentaux de respect des femmes, des autorités, des devoirs … de la Nation). Par exemple, si j’allais passer mes vacances dans un club naturiste. Je me devrais adopter une nudité même minimum pour ne pas heurter mes hôtes ;
• Vivre chez moi, en France offre des droits, mais aussi nécessite de respecter des devoirs en usage depuis des siècles.

Comme je veux rester le seul décisionnaire de qui j’accepte de recevoir chez moi pour l’héberger, le nourrir, l’éduquer, le soigner … Ce n’est pas au maire de ma commune de statuer. Ce devrait être de même pour toute la France. Ce n’est pas à la Commission Européenne de décider qui peut s’installer chez nous !

et si ?

• Si Je surprends un de mes invités en train de fumer dans la maison, ou s’il manque de respect envers mon épouse, ou encore s’il procède à des attouchements sur mes petites filles. Je lui expliquerai une fois nos règles de vie ensemble et à la 1ère récidive je le jetterai dehors ;
• S’il me vole de l’argent dans mon portefeuille, s’il introduit de la drogue dans mon appartement, ou encore s’il ne participe pas aux tâches ménagères : je l’éconduirais de chez moi.
• S’il ne montrait aucun effort pour s’assimiler correctement à ma famille, s’il crachait dans mon assiette : je lui demanderais de partir ailleurs.

Conclusions

Pourquoi ne peut-on pas choisir les migrants qui pourraient venir en France, alors que je peux encore le faire sur qui je veux bien recevoir chez moi ?