La France d’aujourd’hui et de demain (sans qualificatif), s’insécurisent de plus en plus :
Après le développement en France :
- Des « zones de non-droit » ;
- Les « déserts médicaux » (Un nouvel indicateur, « l’Accessibilité Potentielle Localisée » (APL), utilisé pour déterminer les territoires fragiles ou les déserts médicaux (peu de généralistes, pas de spécialistes, peu d’infrastructures médicales :
- Des « zéros services publics » (administratifs, services sociaux, fiscaux ou encore de Justice de proximité) ;
- Ceux sans services régaliens ;
- Les « sans transports en commun » ou avec des horaires inadaptés aux horaires de travail ;
- Les territoires sans emplois disponibles ( les relocalisations annoncées où sont-elles ?) ;
- Où il est difficile de s’y loger : logements non disponibles ou trop chers (centre-ville, zone touristique …) ;
- Les zones de « chômage endémique » ou « sans investissement d’envergure » ;
- Les zones blanches (sans Internet, sans la fibre, sans téléphone mobile …)
- Les arnaques, les abus de confiance en très forte progression en particulier sur les réseaux sociaux, au téléphone, en visite directe à domicile …
- Les « points de deal » : (avec +57 % de crimes en plus en un an dû aux trafics).
Voici venir les : « territoires non sécurisés » (partout quelque soit le territoire)
- Proches de quartiers sensibles à fortes populations d’immigration récente et souvent non-européenne ;
- Situés loin (à une heure) d’un service d’urgence (mesurés par les délais d’accès et des disponibilités). Sans maternité de proximité ; sans EHPAD, sans « premiers secours » accessibles, sans spécialistes de sécurité (ou en nombre insuffisant)
- À une heure de route d’une unité de Police ou de Gendarmerie, sécurité civile … ;
- Mal desservis, enclavés (routes, voies ferrées, transports en commun publics ) ;
- Territoires où les autorités ont installé (improvisé) des accueils de nouveaux migrants ou de jeunes délinquants, sans les accompagnements nécessaires (locaux dédiés et personnels formés) ;
L’exécutif en France ne semble pas très concerné par ces « insécurités » dans les quartiers, et depuis peu en milieu rural : (manque de volonté, manque de moyens). Souhaiterait-il que ce constitue en France, des milices d’autodéfense.
Conclusion
Devant la recrudescence de ces insécurités, plutôt que d’incriminer un tel ou un autre, ne serait-on pas face à une médiocritisation générale des esprits de notre société ?
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