La médiatisation de l’accident de Palmade

Semble-t-il on en fait trop ! Même si j’ai participé à ce lynchage généralisé, contre cette « épave » de notre société :

• ce n’est pas pour faire tomber une idole, même si je suis indigné du comportement des multi-transgressions de certains membres d’une classe de célébrités du showbiz, des politiques, des sportifs, des artistes, d’homme d’affaires …:
• ni pour une manifestation d’ homophobie, en oubliant qu’on parle là aussi : de conduite et d’un accident sous stupéfiants, suspecté de pédopornographie,d’ avoir commis un homicide d’un enfant et d’une récidiviste transgressive des décision de justice ;
• mais plus simplement de profiter d’une grande émotion d’un large émoi pour exercer unelus forte médiatisation sur : notre exécutif, nos députés, sur la Justice, sur les médias et faire avancer un grande cause nationale : (autrement qu’en paroles de bonnes intention). À savoir : la drogue et plus particulièrement la drogue au volant ;

Certes je suis profondément choqué de ces agissements des peoples, qui abusent de leur notoriété pour des comportements transgressifs, alors qu’ils devraient assumer un rôle de phare dans notre société, en particulier auprès des jeunes en quête de repères.

Quels moyens de médiatisation possibles :

Les quidams, les gens « ordinaires » ne disposent que d’un seul moyen de pression : faire nombre et montrer leur indignation :

• Auprès des médias, afin de les mobiliser à la cause ;
• Leurs députés et notre exécutif pour qu’ils mettent en place des lois efficaces contre ce nouveau fléau ;
• Ceux qui détiennent de l’autorité publique, ceux qui ont en charge la bonne santé publique, ou encore chargés d’éducation pour qu’ils assument leur responsabilité ;
• Se choisir un exécutif qui manifesterait prioritairement de l’empathie pour les Français.
• Qui considérerait la consommation de drogue comme un comportement délictueux et non pas comme un simple divertissement ;
• Éviter d’honorer ces potentiels assassins en les décorant de médailles du mérite, en les recevant en grandes pompes à l’Élysée. (Il y a longtemps déjà, existait une grande complicité entre les élus de Marseille et la pègre locale);
• Sensibiliser nos « élites » à qui ont tolère quelques privilèges et qui en retour devraient en assumer un peu de reconnaissance. Par exemple chez certains travailleurs du divertissement avec un statut que seule la France a accordé pendant 18 mois : « l’intermittence ». C’est-à-dire qu’une partie de leurs revenus est payée par nos impôts à la condition qu’ils aient déclarés un travail de 3 mois dans l’année précédente ! (Tel Depardieu entre 2 films).  

Quels objectifs envisagés par l’opinion publique

• Ne plus craindre sur la route de croiser un conducteur « sous drogue » cause de 2 morts/jour dans un accident routier avec un drogué responsable d’un délit. Pour cela :
  • Créer un délit routier spécifique en cas d’accident sous influence de l’alcool ou d’un stupéfiant, pour réprimer convenablement ce délit.
• • Avec des magistrats dédiés uniquement à ce problème.
• • Notre Justice ne doit plus faire preuve de déni ni de mansuétude envers ces délinquants.
• • La répression doit être exemplaire et dissuasive (souvent il suffit d’appliquer des lois qui existent déjà). Par exemple : confisquer le véhicule, supprimer le permis pour 5 ans ! Repasser l’examen après un grave accident responsable ;
• • La détention provisoire a été prévue pour attendre le déroulement du procès, mais elle est limitée au maximum à un an ! Alors que ce procès n’aura le plus souvent lieu que dans 3 ou 5 ans !
  • Poursuivre les consommateurs comme complices du développement d’un trafic de drogue en France.
• Que le sort des victimes soit convenablement considérés, qu’elles soient informées, assistées, protégées et rapidement indemnisées à la hauteur des dommages subis.

De l’information et de la prévention ;

• Diffuser des campagnes d’information sur les méfaits de la drogue. Non ces substances n’apportent pas plus de génie ! (Surtout quand au départ on n’en possède pas !). En particulier dans les écoles primaires (à la place du temps consacré à la défense des droits des minorités (LGBT, les genres…)      
• Augmenter les contrôles et les dépistages de drogue sur la route (actuellement les tests salivaires utilisés n’agissent pas contre les drogues de synthèse) ;                                           
• Que de tels comportements ne soient plus considérés comme très « tendances » très chics, très « à la mode » et surtout ne devant pas être stigmatisés.

Conclusion :

Une forte médiatisation de cet infanticide constitue une bonne opportunité pour sensibiliser nos décideurs de l’importance du problème en France.

Merci de participer à une plus forte médiatisation des méfaits des drogues au volant en faisant circuler ce post.