#OnMarcheSurLaTête – N°3
Les coûts de l’immigration médicale :
En matière d’immigration médicale, la France s’honore d‘une politique d’entre-aide sanitaire unique au monde. Mais certains commencent à penser que : « trop c’est trop ». Au moment où nos ressources hospitalières (en personnel et en lits disponibles ) risquent chaque jour de se retrouver totalement dépassées. Pour cause de Covid 19. Et où, notre stratégie de santé ambitionne de réduire drastiquement nos dépenses de santé. (Celles à la charge de l’État).
La délivrance de titres de séjour aux étrangers malades : immigration médicale
Des visas pour venir se faire soigner gratuitement à l’hôpital en France sont accordés pour des raisons sanitaires : 26 000 demandes/an pour 16 000 accordées. Ces autorisations coûtent au contribuables Français : 1 milliard d’€ par an. Au moment où des Français (de plus en plus nombreux) ne peuvent plus financièrement se soigner !
- Des autorisations accordées avec une prédominance de cause pour des soins Psychiatriques ! (Venant principalement d’Algérie)
- Pour de longs séjours sans nécessité d’urgence
- Que l’on pourrait très bien soigner localement dans le pays même.
- La dette accumulée par les pays étrangers aux hôpitaux parisiens (AP-HP) frôlait les 120 millions d’euros à fin 2014 : principalement de l’Algérie et du Maroc.
Beaucoup de ces visas souvent demandés en cas de refus d’une demande d’asile, se font pour un motif psychiatrique suffisamment « flou » pour pouvoir se simuler.
L’aide médicale durant une immigration pour les étrangers en France (AME)
Avec un renouvellement annuel sur simple demande. Elle se justifie par un acte de prévention interne. Par exemple : un clandestin qui arrive chez nous avec une tuberculose et que l’on ne peut pas expulser, il doit être soigné pour éviter toute propagation. Mais ce cas-là d’impérieuse nécessité ne représente pas la majorité des cas de soins dispensés à ces migrants.
L’aide médicale de l’État constitue un dispositif permettant aux étrangers en situation irrégulière en France de bénéficier gratuitement d’un accès aux soins.
Attribuée (en principe)
- Sous conditions de résidence et de ressources. …
- Une fois attribuée, l’AME, accordée sans limite de dépense pour un an.
- Tout en bénéficiant d’une exonération du ticket modérateur et de la dispense de l’avance de frais.
Bien d’autres Français ne bénéficient pas d’une telle solidarité nationale ni d’une telle sollicitude, ils doivent prendre une mutuelle complémentaire payante, onéreuse et à leur charge.
L’AME bénéficie à 50 % de fraudeurs
La plus grande maternité de France croule sous les naissances. Près de 10 000 naissances ont été enregistrées l’an passé à la maternité de Mamoudzou (Mayotte) avec plus de 25 naissances, en moyenne, par jour. Le sont-elles pour raison de solidarité médicale ou pour profiter de notre « droit du sol » et devenir Français à la naissance ?
J’allais oublier les 100 000 naturalisations chaque année ! Et les 400 000 clandestins par an qui deviendront à notre charge pour longtemps, puisqu’on est incapable de les expulser !
Les mineurs isolés :
Les mineurs isolés qui bien souvent pour 50 % d’entre eux, ne sont pas mineurs ni isolés ! (Très peu contrôlés).
L’Aide Sociale à l’Enfance (ASE) revient aux contribuables à environ à 50 000 euros par an pour chaque mineur … sans compter sur les conséquences de leurs actes de délinquance !
L’Aide médicale de l’État lors d’une immigration se décline en 3 dispositifs distincts :
- L’AME de droit commun ;
- L’AME pour soins urgents ;
- Celle versée à titre humanitaire.
L’Aide médicale d’État s’avère également attribuée aux personnes à charge du bénéficiaire :
- Conjoint, concubin ou partenaire de PACS
- Enfants mineurs de moins de 16 ans ou jusqu’à 20 ans, s’ils poursuivent leurs études
Cette aide médicale d’État pour des irréguliers permet à ceux qui n’ont jamais cotisés à la Sécurité Sociale d’obtenir les mêmes prestations que n’importe quel assuré social ayant lui cotisé durant des années !
L’AME, attribuée sans conditions aux enfants mineurs dont les parents restent en situation irrégulière, même lorsque ces derniers n’en bénéficient pas encore ou dépassent le plafond de ressources. Elle s’applique aussi aux demandeurs d’asile majeurs qui séjournent sur le territoire français depuis moins de trois mois.
Soins urgents pris en charge :
- Des soins dont l’absence mettrait en jeu le pronostic vital ou pourrait conduire à l’altération grave et durable de l’état de santé ou de celui d’un enfant à naître ;
- Les soins destinés à éviter la propagation d’une maladie à l’entourage ou à la collectivité (exemple : la tuberculose) ;
- Tous les soins d’une femme enceinte et d’un nouveau-né : les examens de prévention réalisés pendant et après la grossesse, ainsi que pour l’accouchement ;
- Les greffes d’organe ;
- Les interruptions de grossesse (volontaires ou pour motif médical) ;
- Les soins dispensés à des mineurs ;
- À ces raisons on peut rajouter tous les diagnostics (Covid 19, VIH, Tuberculose…) qui ne peuvent pas toujours s’effectuer dans les pays d’origine (Scanner, IRM, imagerie …).
Le budget de l’AME a doublé depuis 2015. Selon le ministre de la Santé, Olivier Véran : plus de 383.000 étrangers en ont bénéficié en 2020.
Des chiffres et des informations clé :
(Selon informations publiées dans Marianne N° 1292, pages 28-29)
- En France la part des prestations sociales s’élève à 49,7 % du budget national ! C’est-à-dire : 31 % de notre PIB (première place de l’OCDE) ;
- Selon l’OCDE les prestations non contributives versées aux étrangers représentaient en 2018 plus de 20 milliards d’euros, soit 28 % du montant globales de nos prestations alors que les immigrés représentent 12,4 % de la population.
Les étrangers n’ayant jamais travaillé peuvent percevoir l’Aspa (anciennement le minimum vieillesse) à partir de 65 ans. Cette prestation n‘est pas issue des cotisations, mais financée par le Fonds de solidarité vieillesse (FSV).24 juil. 2021
Concernant les retraites versées directement à l’étranger : malgré l’obligation de résidence sur le territoire national. « Les risques associés aux prestations servies sur la base de conditions de ressources ou de résidence sur le territoire national concentrent les deux tiers des fraudes de la branche retraite” cela concerne environ 15 millions d’euros chaque année. (Rapport parlementaire relatif à la lutte contre les fraudes aux prestations sociales).
Économiquement sur l’immigration :
Nous sommes dans l’oeil du cyclone d’une grave crise économique, lourdement handicapé par un chômage endémique. La France gravement touchée se débat pour se sortir de ce puit sans fond. Nous continuons d’accueillir nombre de migrants (économiques). Certes ils peuvent se considérer comme nécessaires à un bon développement national. Donc tout le monde devrait se sentir satisfait, mais :
- Le nombre de migrants s’avère plus important que ce que nous pouvons accueillir en bonne condition sans pénaliser les nationaux ;
- La » mauvaise » qualification professionnelle des migrants arrivant en France les pousse d’entrée vers la case chômage pour 21 % d’entre eux alors que le taux de chômage des nationaux voisine les 7 %. Nous importons plus de futurs sous-qualifiés que l’Allemagne ou l’Angleterre par exemple, donc de futurs chômeurs… et cela représente plus de 34 milliards d’allocations.
- L’allocation Demandeur d’Asile (ADA) = 424 millions d’euros en 2018.
Conclusion : #OnMarcheSurLaTête :
On pourrait se sentir très fier d’une telle générosité de la France (c’est mon cas!). Mais cela semble irresponsable de le faire au-delà de nos possibilités. Au moment où tant de Français souffrent du manque de moyens. Les ménages sont confrontés à des choix de dépenses (logement, voiture, vacances, loisirs…) en fonction de leurs revenus. Les États, se doivent de faire les mêmes choix (d’autant plus que ce n’est pas leur argent qu’ils dépensent !)
Avons-nous vraiment besoin de tant de migrants inutiles à notre économie, pour en faire des délinquants dans nos quartiers
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