OMSLT* N°4 : Notre situation sanitaire actuelle

Concernant nos mesures sanitaires actuelles. Je ne souhaiterais pas ajouter mon avis au tumulte général. Je ne suis pas un « sachant ». Mais je revendique un certain « bon sens ». Je vais donc exprimer mes doutes personnels sur cette “guerre” sanitaire.

* #OMSLT : #OnMarcheSurLaTête

En effet sur le plan sanitaire, comment peut-on accepter ?

• Il y a deux ans déjà qu’on s’est aperçu que le réservoir chargé de recueillir l’eau de pluie risquait de déborder. (Les lits à l’hôpital). On s’est contenté alors d’invoquer le ciel d’arrêter la pluie. Mais pas d’augmenter la capacité du réservoir (le nombre de lits de réanimation).

Aujourd’hui encore :

• Au bar, on se contamine plus en étant débout, mais pas en étant assis !
• 90 % de la population a fait l’effort de se faire vacciner (2 ou 3 fois) et notre exécutif préfère « ménager » les 10 % de non vaccinés. (tout en disant vouloir les “emmerder” !).
• On rejette hors des lits de réanimation les 90 % de vrais malades (cancers, greffes, accidents…) et qui se sont fait vacciner, au profit des personnes inciviles, qui pourtant n’hésitent pas à encombrer les services de réanimation (90 % des malades ne sont pas vaccinés !) Et ce, pour pouvoir accueillir des personnes qui oblige ainsi les médecins à faire des choix de priorité par manque de personnel.
• En pleine pandémie on a « remercié » 1 500 soignants (sans salaire), ayant des doutes sur les pseudo-convictions gouvernementales.

Le contrôle sanitaire :

• Des commerçants n’hésitent pas de demander une pièce d’identité lors d’un paiement par chèque (parfois de moins de 50 €), mais refusent de contrôler un pass sanitaire pour sauver une vie.
• L’exécutif se plaint des fraudes : (pass sanitaire, carte vitale, arrêts de maladie, faux cas contact …). Mais n’entreprend rien du tout pour contrecarrer les contrevenants. En réa, actuellement 5 % des hospitalisés « bénéficient » de faux pass sanitaires (au risque d’induire les soignants à des erreurs !)
• Par manque de détermination contre les non-vaccinés (très minoritaires), on a reporté les efforts sur une autre cible plus large comme celle des jeunes enfants (pour faire du chiffre ?).

Conclusion :

Je pourrais multiplier de tels exemples, mais cela ne m’amuse pas, et je n’ai plus (à 82 ans) le temps de courir après des chimères dénouées du moindre bon sens. Simplement : alors que j’adhère à 100 % aux mesures préventives (dont les vaccins) aujourd’hui j’ai des doutes sur une bonne corrélation entre les mesures sanitaires imposées et celles réellement nécessaires? Pourquoi n’a t-on pas AGIT impérativement (avec un objectif de résultats et non pas uniquement dans les discours) sur les populations à risque ? (avec de vraies comorbinités).

Désolé de vous paraître politiquement incorrect ! Je ne suis pas un “emmerdeur”, mais les politiques sont-ils toujours corrects ?