Comment diminuer les risques. Un extrait d’une partie du chapitre de la gestion des risques (tome 2) pour tous ceux qui sont concernés par la qualité et la satisfaction des clients.

  1. Le tome 1: Des idées positives, dans la vie quotidienne pour faire face aux contraintes de tous les jours à la famille, dans la rue, à l’école … : https://amzn.eu/d/aMnpBTo : 367 pages pour 10,55 €
  2. Le tome 2 : Le Bonheur au travail ,en entreprise, pour être plus heureux travail, avec ses collègues, les clients, avec l’encadrement … : https://amzn.eu/d/9wBsr5U

NB : Comme j’envisage de pratiquer du « Yiel Management » Fin Aout 2025, les contenus de ces 2 livres seront « augmentés » et vraisemblablement les prix de vente public aussi.

Cet extrait du tome 2 , pour diminuer les risques :  

 Pourquoi une analyse des risques en entreprise ?

Pour l’entreprise :

  • Éviter les coûtsde refaire une tâche qui aurait été mal-faite ;
  • Satisfaire son client pour ne pas le mécontenter et le perdre ;
  • Augmenter ses ventes et sa profitabilité ;
  • Renforcer son image de Marque

Pour les salariés :

  • Éviter les accidents du travail, les pressions inutiles ;
  • Satisfaire le désir de bien faire des collaborateurs (la réussite) ;
  • Augmenter la motivation des salariés, leur donner plus de sens à leurs tâches ;
  • Renforcer le degré d’implication des employés, en leur leurs apportant plus de certitude.

Ensuite, le risque nul n’existe pas ! Le grand créateur (quel que soit son nom qu’on lui donne) a laissé subsister les risques, parce que sans doute ces risques possèdent une utilité organisationnelle – Comme la douleur est à la base une autoprotection de l’organisme !

Pour un niveau d’aléa donné, un enjeu sera d’autant plus affecté que sa vulnérabilité est forte.

La possibilité de survenue d’un événement majeur naturel, (un grand nombre de victimes, et/ou d’occasionner des dommages importants et/ou de dépasser nos capacités de réaction ;

Le principe de précaution (définit lors du sommet de Rio de 1992, inscrit dans notre constitution en 2004 en y ajoutant les notions de réaction « proportionnée » et de « coût économiquement acceptable ».

Il faut vivre avec le risque ou tout du moins à s’y adapter pour en limiter les conséquences. Mais actuellement avec :

  • L’amateurisme et l’irresponsabilité de nos dirigeants aveuglés par des idéologies ;
  • Notre fameux principe de précaution, peut être apparu après 1958 où il « était interdit d’interdire » ;
  • Le développement récent de l’individualisme à la place du sentiment du bien collectif ;
  • D’un certain manque de courage des populations.

Cette prise en compte de la notion de risques reste fortement prise en compte dans les entreprises les plus dynamiques, dans les armées et quelques institutions, mais pourrait être mise en place aussi dans les administrations, voire dans le vie courante (la façon d’élever ses enfants).

Cette notion du risque possède au moins : 2 approches culturelles traditionnelles différentes :

En France, notamment chez les militaires subsiste une théorie particulière : qui consiste à dire : « On y va ! on fonce et après on verra bien ! Ainsi Napoléon a foncé sur Moscou, sans se préoccuper du « jour d’après » (les risques) et on a eu la Bérézina, Comme Hitler s’est précipité sur les champs de pétrole du Caucase et il a eu Stalingrad.

Alors que les troupes américaines étudient en détail le « jour d’après », avant de se mettre en route : on a l’exemple récent de l’Iran ou ils n’ont attaqué, que lorsqu’ils ont eu terminé de mettre en place à proximité … un stock de chewing-gum et de Coca Cola suffisant.

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