Des solutions pour réduire les conséquences des inondations existent encore faut-il mettre en oeuvre !

Des conséquences économiques

  1. Dommages matériels : Habitations, infrastructures (routes, ponts), et biens privés endommagés ou détruits.
  2. Coût de reconstruction : Par exemple, les inondations de 2016 en Île-de-France ont coûté plus de 1 milliard d’euros.
  3. Impact sur l’économie locale : Arrêt des activités agricoles, industrielles ou touristiques dans les régions touchées.
  4. Assurances : Les compagnies d’assurance doivent débourser des sommes colossales, augmentant les primes pour les particuliers et entreprises.

Des solutions préventives déjà mises en place

  • Amélioration des infrastructures : Construction et renforcement des digues et barrages- exemple : digues sur la Loire ;
  • Bassins de rétention pour limiter les crues ;
  • Surélever les équipements électriques et électro ménagers ou utiliser des matériaux adaptés peu altérables (métal ou PVC) ;
  • Plans de prévention des Risques d’Inondations – PPRI -, réglementant l’urbanisme dans les zones à risques ;
  • Systèmes d’alerte précoce pour informer rapidement les populations ;
  • Reboisement : Dans les vallées et zones montagneuses pour limiter le ruissellement des eaux ;
  • Cartographie des zones inondables : Pour orienter les politiques d’aménagement du territoire.

Solutions à renforcer ou à mettre en place

  • Éducation et sensibilisation : Informer les populations sur les gestes à adopter en cas d’inondation ;
  • Urbanisme durable. Limiter l’expansion urbaine dans les zones inondables, ou construire des habitations sur pilotis dans ces secteurs ;
  • Mettre « hors d’eau » les habitations avec des dispositifs d’étanchéité ;
  • Installer des dispositifs anti-refoulement ;
  • Mettre hors d’eau les équipements sensibles (matériel de chauffage, matériel et installation électrique…). Fixer et lester les cuves de fioul et mettre hors d’eau les évents ;Choisir des matériaux adaptés à la présence d’eau ;
  • Surélever les fondations des nouvelles maisons – buttes de terre, pilotis, zones de vie en étage ;
  • Restauration des zones naturelles : Protéger les plaines d’inondation, qui peuvent servir de zones tampon ;
  • Innovation technologique : Utilisation de capteurs intelligents pour surveiller en temps réel les niveaux des rivières et des sols.;
  • Coopération régionale : Établir des politiques concertées entre les communes et les régions pour une meilleure gestion des risques.

En résumé : Les inondations en France résultent d’un mélange de facteurs naturels et humains. Si des efforts importants ont été réalisés pour réduire leur impact. La montée des eaux liée au changement climatique appelle à une vigilance accrue et à des solutions innovantes et durables.

Solutions préventives possibles

Pour réduire les inondations ou en atténuer les conséquences, des aménagement du territoire et urbanisme adapté :

  • Interdire les constructions en zones inondables. Adapter les plans locaux d’urbanisme pour éviter de construire dans des secteurs à risque;
  • Aménagements perméables. Intégrer des espaces verts, des parkings drainants, et des revêtements perméables pour favoriser l’infiltration naturelle des eaux ;
  • Renforcement des infrastructures ;
  • Construire ou moderniser les digues : Prévoir des digues plus résistantes, capables de contenir les crues les plus intenses. Des bassins de rétention des eaux : Installer des bassins capables de stocker temporairement l’eau des crues avant qu’elle ne soit relâchée de façon contrôlée
  • Création de barrages multifonctionnels : Ces structures pourraient non seulement produire de l’énergie, mais aussi contrôler les crues ;
  • Préservation et restauration des écosystèmes naturels ,
  • Réhabilitation des zones humides. Ces zones jouent un rôle tampon naturel, absorbant les excès d’eau en cas de fortes précipitations ;
  • Reboisement des bassins versants : Planter des arbres dans les zones vulnérables pour ralentir le ruissellement et limiter l’érosion des sols ;

Systèmes de surveillance et d’alerte :

  • Systèmes d’alerte précoce : Développer des outils numériques – applications, SMS – pour alerter rapidement les habitants :
  • Plans d’urgence et de sensibilisation :
  • Simulations de gestion de crise : Organiser des exercices réguliers pour préparer les habitants et les autorités locales à réagir efficacement ;
  • Éducation des populations : Informer les citoyens sur les comportements à adopter avant, pendant et après une inondation ;
  • Gestion durable des rivières et cours d’eau ;
  • Déviation contrôlée des eaux : Mettre en place des espaces réservés où l’eau pourrait être dirigée en cas de crue. Exemple : champs d’expansion des crues –
  • Dégagement des lits des rivières : Entretenir régulièrement les cours d’eau en supprimant les embâcles – troncs, déchets, végétation – susceptibles d’aggraver les crues.

D’autres solutions

  • Prise en compte du changement climatique :
  • Réduction des émissions de gaz à effet de serre. Bien qu’indirecte, la lutte contre le réchauffement climatique est essentielle pour limiter l’intensité des phénomènes météorologiques.
  • Assurances et financements pour les sinistrés
  • Création de fonds de réserve dédiés aux catastrophes naturelles pour financer rapidement les réparations et les reconstructions
  • Renforcement des obligations pour les assurances. Garantir une couverture universelle des risques d’inondation, y compris pour les ménages les plus modestes.
  • Collaboration transnationale. Pour les rivières transfrontalières comme le Rhin ou le Rhône, des politiques coordonnées avec les pays voisins – Allemagne, Suisse … Cela permettrait une gestion commune et efficace des bassins versants.
  • Solutions innovantes : Écoquartiers résilients : Concevoir des quartiers autonomes capables de résister aux inondations. Exemple : habitations surélevées, toitures végétalisées.
  • Intelligence artificielle et modélisation : Utiliser des algorithmes pour prévoir les zones à risque et optimiser les interventions.
  • Systèmes de drainage urbain intelligent : Réseaux connectés capables d’anticiper et de réguler les flux d’eau dans les villes.
  • Protections particulières : Je place mes documents et effets personnels importants en étage – Je garde à portée de main le matériel nécessaire. Une réserve d’eau et d’aliments. Des vêtements chauds et couvertures. Radios et lampe de poche équipées de piles. Médicaments, papiers importants –

Mon cas perso ;

Je me renseigne sur les lieux d’accueil de secours et les itinéraires pour y parvenir* – Je vérifie avoir la bonne couverture assurance pour être indemnisé en cas de dommages suite à une inondation – Je mets en hauteur les produits toxiques pour limiter les risques de déversement.

J’habite sur un golf avec une centaine de maisons réparties dans une forêt de pins, dans le Var, avec un fort risque d’incendie. J’ai demandé à une dizaine de voisins : Que faire en cas d’incendie du lotissement. Spontanément, aucune bonne réponse : se réfugier sur le parcours du golf et attendre les secours !

En combinant ces mesures, la France pourrait non seulement réduire les risques d’inondations, mais aussi limiter leurs impacts humains, matériels et économiques à long terme.

Des solutions spécifiques pour les zones côtières et fluviales

  • Creuser des canaux d’évacuation vers la mer :
  • Avantages Permettre une évacuation rapide des surplus d’eau vers la mer, en cas de crues soudaines ou de marées exceptionnelles. Réduire la pression sur les rivières en aval et limiter les inondations des zones habitées. Exemples : Ce type d’aménagement est utilisé dans certains pays comme les Pays-Bas, où des canaux artificiels appelés « polders » – contrôler les flux d’eau.
  • Conditions nécessaires : Bien étudier les courants marins pour éviter que l’eau rejetée n’aggrave l’érosion côtière. Prévoir des écluses pour éviter que l’eau de mer ne remonte dans les terres à marée haute.
  • Curer et élargir le lit de nos rivières dans des goulots d’étranglement :

Des objectifs solutions :

Déblayer les sédiments accumulés pour restaurer ou augmenter la capacité d’écoulement naturelle.

  • Mise en œuvre : Organiser des campagnes de nettoyage régulier, en impliquant les collectivités locales et les citoyens.
  • Utiliser des machines spécialisées pour intervenir sur les berges difficiles d’accès.
  • Nettoyer les berges et les lits des rivières :
  • Objectif : Éliminer les obstacles naturels ou artificiels – troncs d’arbres, branches, détritus, déchets plastiques. Qui peuvent être emportés par les eaux et provoquer des barrages naturels.
  • Avantages Réduit le risque de formation d’obstacles. Responsables d’aggravation des inondations en amont.Préserve également la qualité de l’eau et les écosystèmes aquatiques. Dans les goulots d’étranglement, creuser ou élargir le lit de la rivière. Ou encore créer des canaux parallèles pour détourner l’eau en cas de crue.Attention. Ces travaux doivent être faits avec prudence – sans les remettre en cause – pour ne pas déstabiliser les écosystèmes fluviaux.

Défis et précautions de ces solutions :

  • Respect des écosystèmes : Ces travaux doivent être réalisés en concertation avec des experts environnementaux pour préserver la faune et la flore.
  • Coût et financement : Ces interventions nécessitent des moyens financiers importants, mais pourraient être intégrées dans les programmes de prévention des risques.
  • Maintien à long terme : Ces mesures demandent un entretien régulier pour rester efficaces, ce qui implique un engagement durable des collectivités.

En combinant ces solutions avec des mesures globales – comme les bassins de rétention ou les plans d’urbanisme adaptés.  Les zones côtières et fluviales peuvent être mieux protégées des inondations tout en favorisant une gestion durable des eaux.

Accélération des écoulements :

  • Les haies agissent comme des « freins » pour l’eau de pluie. Leur disparition entraîne une augmentation des ruissellements, car l’eau s’écoule directement vers les rivières et fossés. Cela provoque des crues rapides et soudaines, notamment lors de fortes pluies.
  • Augmentation de l’érosion des sols : Les haies retenaient les sols, absorbaient de l’eau et limitaient l’érosion par les eaux. Leur suppression favorise le lessivage des terres agricoles, qui finit dans les cours d’eau.. Les particules de sol transportées bouchent les rivières, réduisant leur capacité d’écoulement et aggravant les inondations.

Perte de zones d’infiltration :

  • Les haies et les talus facilitaient l’infiltration des eaux dans les sols. Leur suppression entraîne une saturation rapide des sols en eau, augmentant le risque d’inondation.
  • Perte de biodiversité : Les haies offraient un refuge pour la faune et favorisaient les éco systèmes naturels. Leur disparition diminue la résilience écologique face aux changements climatiques.

Exemples concrets :

  • Bretagne : La suppression massive des haies a amplifié les inondations dans les bassins versants, comme lors des crues dans le bassin de l’Odet (Finistère).
  • Normandie : Des villages situés en aval de zones agricoles bocagères ont constaté une hausse des crues éclairs après le remembrement.

Impact des solutions sur l’imperméabilisation des sols

Contexte : Urbanisation moderne

  • L’expansion des zones urbaines a entraîné une forte imperméabilisation des sols, avec la construction de parkings, routes, lotissements et de zones commerciales.
  • Ces surfaces imperméables empêchent l’infiltration naturelle de l’eau de pluie dans les sols.

Conséquences de cette imperméabilisation

  • Augmentation du ruissellement : L’eau qui ne peut pas s’infiltrer ruisselle rapidement vers les bassins d’eau ou les réseaux d’assainissement. Cela surcharge les canalisations et provoque des inondations, notamment en aval des zones urbaines.
  • Amplification des crues soudaines. Les surfaces imperméables accélèrent la montée des eaux lors des épisodes de fortes pluies, créant des crues-éclair – comme celles observées dans certaines villes bretonnes -.
  • Saturation des réseaux d’évacuation. Les infrastructures d’assainissement ne sont souvent pas dimensionnées pour absorber ces volumes d’eau supplémentaires, aggravant les inondations urbaines.
  • Réduction des zones de stockage naturel de l’eau. Les sols agricoles ou naturels agissent comme des « éponges » qui absorbent l’eau et la restituent progressivement. L’imperméabilisation réduit ce stockage naturel, augmentant les écoulements directs.

Exemple concrets :

  • Saint-Brieuc (Bretagne) : L’urbanisation rapide a conduit à des inondations fréquentes, notamment dans les quartiers récemment aménagés.
  • Caen (Normandie) : Les zones commerciales périphériques avec de grands parkings ont accentué le ruissellement et les crues dans les communes proches.

Solutions pour limiter ces impacts

  • Replantation de haies et restauration du bocage Encourager les agriculteurs à replanter des haies bocagères pour ralentir l’écoulement des eaux et réduire l’érosion.
  • Subventionner ces initiatives dans le cadre des politiques agricoles et environnementales – PAC, programmes locaux -.
  • Restauration des zones humides : Réhabiliter les zones humides, qui agissent comme des éponges naturelles, en stockant les eaux excédentaires lors des pluies.

Urbanisme durable et gestion des eaux pluviales

  • Réduction de l’imperméabilisation : Utiliser des matériaux perméables pour les parkings et les rues – pavés drainants, enrobés poreux.. Limiter l’étalement urbain en densifiant les centres-villes.
  • Création de bassins de rétention. Construire des bassins de stockage temporaire pour recueillir les eaux de pluie et limiter leur ruissellement rapide.
  • Végétalisation des espaces urbains : Planter des arbres et des espaces verts pour absorber les eaux pluviales et rafraîchir les villes.
  • Gestion des cours d’eau : Renaturer les rivières en leur redonnant des méandres pour ralentir les écoulements et réduire le risque de crue.

Conclusion

La suppression des haies bocagères et l’imperméabilisation des sols sont deux facteurs majeurs qui aggravent les risques d’inondation en Bretagne et en Normandie. Ces phénomènes résultent de choix agricoles et urbanistiques qui privilégient la productivité ou l’urbanisation au détriment des équilibres naturels.

Il est essentiel de combiner des politiques agricoles – replantation des haies, protection des sols. Avec des solutions urbanistiques durables -matériaux perméables, bassins de rétention – pour réduire les risques liés à ces pratiques.

La transformation de marécages en terres agricoles

Cela a profondément modifié l’hydrologie naturelle dans plusieurs régions de France. Nord, bocage vendéen, Occitanie –  Si ces aménagements ont permis d’accroître la surface cultivable, ils ont également engendré des conséquences négatives, notamment en matière de gestion des eaux et d’aggravation des risques d’inondation.

  • Rôle des zones humides avant leur transformation. Les zones humides et les marécages jouent un rôle fondamental dans le cycle de l’eau et dans l’équilibre écologique :
  • Régulation des crues : Ces espaces agissent comme des « éponges naturelles », absorbant l’eau excédentaire lors des fortes pluies et la relâchant progressivement.
  • Filtration de l’eau : Les sols riches en matières organiques des zones humides filtrent les polluants avant que l’eau ne rejoigne les rivières ou nappes phréatiques.
  • Réservoirs de biodiversité : Ces milieux abritent une faune et une flore spécifiques, contribuant à la résilience écologique face aux aléas climatiques.

Lorsque ces zones sont drainées ou asséchées pour l’agriculture, ces fonctions essentielles disparaissent.

Régions concernées en France

  • Les marais de Flandre et des Hauts-de-France :
    • Une grande partie des marais du littoral – près de Dunkerque et des plaines intérieures a été drainée pour cultiver des céréales, betteraves et pommes de terre.
    • Ces transformations, réalisées dès le Moyen Âge et intensifiées au XIXᵉ siècle, ont entraîné une augmentation du ruissellement vers les rivières comme l’Yser ou la Lys.
    • Aujourd’hui, les crues de ces rivières sont plus rapides et difficiles à contrôler.
  • Le Bocage vendéen et le Marais poitevin, autrefois une vaste zone humide entre Niort et l’Atlantique, a été en grande partie drainé pour créer des terres agricoles dès le XVIIᵉ siècle – par les moines et les ingénieurs royaux. Les canaux et fossés permettent un contrôle hydraulique, mais la disparition des zones humides a réduit la capacité naturelle de la région à absorber les eaux de crue.
  • La plaine languedocienne: Une zone humide littorales et des marécages, comme ceux près de Narbonne et Montpellier, ont été transformés pour la viticulture et les cultures maraîchères. Ces aménagements ont diminué les capacités naturelles de rétention des eaux de pluie dans cette région sujette aux épisodes cévenols.
  • La Camargue : Bien que des efforts aient été faits pour préserver certains marais, une partie des terres a été asséchée pour l’agriculture et les salins, aggravant les risques d’inondation lors des crues du Rhône.

Conséquences de ces transformations

Augmentation des risques d’inondation et perte des zones tampon :

  1. Érosion et pollutions : Les zones humides, en filtrant les eaux, retenaient les sédiments et polluants. Leur disparition favorise le transport direct des particules agricoles – engrais, pesticides – vers les rivières, aggravant l’eutrophisation.

Réchauffement climatique et sécheresses

Les zones humides jouaient aussi un rôle de « climatiseur naturel ». Leur assèchement amplifie les épisodes de sécheresse locale, aggravant les tensions sur les ressources en eau.

Changements agricoles

  • Pratiques agricoles adaptées : Favoriser des techniques limitant le ruissellement, comme les bandes enherbées, les cultures de couverture ou les talus filtrants.
  • Adapter les cultures aux capacités hydrologiques des sols, en privilégiant des espèces peu gourmandes en eau.
  • Diminution du drainage intensif : Réduire les réseaux de drainage dans certaines zones pour maintenir un niveau d’eau plus élevé dans les sols et limiter les ruissellements rapides.

Aménagements urbains et hydrauliques

  • Renaturation des cours d’eau : Rendre leurs méandres naturels aux rivières pour ralentir les débits et limiter l’impact des crues.
  • Stockage des eaux de pluie : Développer des bassins de rétention – des bassines – et des zones inondables contrôlées à proximité des anciens marécages.
  • Marais de Sacy (Oise) : Une zone humide restaurée pour réguler les crues de l’Oise, réduire l’érosion et recréer un habitat pour la biodiversité.
  • Camargue : Des efforts récents pour préserver les marais et les étangs, tout en intégrant une agriculture durable.
  • Marais poitevin : Bien que largement drainé, une partie du « marais mouillé » est protégée pour jouer son rôle écologique et hydrologique.

Conclusion

La transformation des zones humides en terres agricoles a certes contribué à augmenter les surfaces cultivables – dans certains cas pour faire des jachères ! – mais elle a aussi aggravé les risques d’inondation, la pollution des eaux et la perte de biodiversité.

Aujourd’hui, il est urgent de concilier agriculture, urbanisation et préservation écologique en restaurant des zones humides stratégiques et en adoptant des pratiques agricoles et hydrauliques plus durables.

NB : N’étant ni ingénieur hydraulique, ni expert de l’aménagement du territoire, ni agriculteur, ni maire. Je remercie ChatGPT de m’avoir fourni une grande partie de toutes ces informations.

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