Le « wokisme » et sa woke culture correspondent à un dérivé de l’expression anglaise « woke ». Qui illustre le participe passé du verbe « wake » qui veut dire « éveiller ». Littéralement, « woke » signifie donc « être éveillé ». Ce terme commence son usage dans l’argot afro-américain des années 1960. Si le sens premier de wokisme s’avérait jugé positif. Il a depuis été considérablement détourné de son sens premier. Même si le terme « woke » peut toujours avoir une dimension de lutte contre les inégalités et la défense des minorités.

D’où venait le terme « wokisme »

Ce concept se base sur la fragilité de la culture blanche et des « privilèges » qui l’entourent :

C’est sous l’influence d’intellectuels français et de la « French Théory » dans les années 60, que des universités américaines (à majorité Afro-américaines) ont basculé vers une déconstruction culturelle. Tel que le postmoderniste (« des conventions anhistoriques du modernisme en architecture et en urbanisme » :

Le postcolonialisme (« les effets persistants de la colonisation ») ;

Le poststructuralisme aux frontières de la pensée intellectuelle :

– Derrière ce jargon, apparaît la déconstruction de la culture humanisme occidentale et surtout de sa mise systématique en procès.

En 1987, un leader noir Jesse Jackson organise une manifestation sur le campus de l’université Standford pour protester contre un cours de culture occidentale rendu obligatoire pour tous les étudiants du premier cycle.

En résumé : le wokisme c’est du « politiquement correcte » à vitesse supérieure. Les wokes peuvent ainsi se représenter comme le contraire des réactionnaires.

D’où venait le terme wokisme ?

Celui-ci s’est présenté au départ comme une nouvelle mouvance qui se répandait comme un rhizome. Avec comme objectif de déconstruire la culture blanche occidentale en luttant contre les inégalités :

– En fait : sous prétexte d’égalité, de lutte pour la défense des minorités (femmes, noirs, LGBT+, colonisés, exclus …) ;

Cette idéologie a englobé aussi les mouvements souvent minoritaires. C’est-à-dire : les victimes sociales, les néo-féministes, les antiracistes, l’écriture inclusive, les antifascistes, les indigénistes, les anticoloniaux. Ceux qui rejettent certains événements ou personnages de notre histoire universelle (la colonisation, (et même le développement des peuples) tels que Christophe Colomb, Colbert, Napoléon…) ;

Le terme wokisme s’utilise aussi aujourd’hui par des gens qui mènent une croisade contre tout ce qui pourrait être victimaire dans le monde. Ils prétendent même traduire en justice tout le passé de l’Occident mâle blanc, masquant par-là leur vraie motivation : une lutte acharnée pour le pouvoir ;

–  Mais aussi ceux qui pensent, par exemple, que les mathématiques représentent une science machiste réactionnaire et raciste ! Il a même été question d’en simplifier l’étude pour qu’elles soient moins abstraites et comprises du plus grand nombre ;

L’arrivée du Wokisme

Le « wokisme » est un dérivé de l’expression anglaise « woke ».

Qui illustre le participe passé du verbe « wake » qui veut dire « éveiller ».

Si le sens premier de wokisme s’avérait jugé positif, Ii a depuis été considérablement détourné de son sens premier. Même si le terme « woke » peut toujours avoir une dimension de lutte contre les inégalités et la défense des minorités.

Le « wokisme » et sa woke culture correspondent à un dérivé de l’expression anglaise « woke ». Qui illustre le participe passé du verbe « wake » qui veut dire « éveiller ». Littéralement, « woke » signifie donc « être éveillé ». Ce terme commence son usage dans l’argot afro-américain des années 1960. Si le sens premier de wokisme s’avérait jugé positif.

Qu’est-ce que la woke culture ? Ou la cancel culture ?

Concernant cette fameuse culture de l’annulation, l’arrivée aux manettes de Mr Trump, les craintes suscitées par Kamila Harris de la part de l’identité américaine de « l‘Amérique profonde » durant les dernières élections aux US, et aussi des vérités économiques irréfutables ont mis du plomb dans l’aile du wokisme ! Notamment contre la culture de l’annulation, entraînant par-là, des changements notables dans les politiques institutionnelles dans les discours publics aux États-Unis ainsi que la liberté d’expression sur les plateformes.

Qu’en sera-t-il en France ? Faudra-t-il attendre une dizaine d’années afin de suivre cette nouvelle tendance aux US ?

Le wokisme, s’est présenté au départ comme une nouvelle mouvance qui se répandait comme un rhizome. Avec comme objectif de déconstruire la culture blanche occidentale :

– En fait : sous prétexte d’égalité, de lutte pour la défense des minorités (femmes, noirs, LGBT+, colonisés, exclus …) ;

Cette idéologie a englobé aussi les mouvements souvent minoritaires. C’est-à-dire : les victimes sociales, les néo-féministes, les antiracistes, l’écriture inclusive, les antifascistes, les indigénistes, les anti coloniaux. Ceux qui rejettent certains événements ou personnages de notre histoire universelle (la colonisation, (et même pour le développement des peuples) tels que Christophe Colomb, Colbert, Napoléon…) ;

Le terme wokisme s’utilise aussi aujourd’hui par des gens qui mènent une croisade contre tout ce qui pourrait être victimaire dans le monde. Ils prétendent même traduire en justice tout le passé de l’Occident mâle blanc, âgé et hétérosexuel) masquant par-là leur vraie motivation : une lutte acharnée pour le pouvoir ;

–  Mais aussi ,par exemple, ceux qui pensent que les mathématiques représentent une science machiste réactionnaire et raciste ! Il a même été question d’en simplifier l’étude pour qu’elles soient moins abstraites et comprises du plus grand nombre.

Objectifs de la culture woke :

Le mouvement woke désire : Exclure de l’histoire occidentale tout ce qui lui parait être moralement coupable d’oppression. Comme les religions : catholique, protestante, le judaïsme, et aussi l’ancien « pouvoir médical » …

Par exemple comme personnage : « l’haïssable » Christophe Colomb. Au point de faire aux États-Unis : du 12 octobre la nouvelle fête nationale US : la « Journée des peuples indigènes ». Ou « l’origine de la civilisation américaine ».

Dans certains campus la civilisation occidentale dû à un suprématiste du mâle, blanc et hétérosexuel considéré comme le responsable de tous les malheurs du monde (Bella d’Albreta). Les étudiants (américains) pensent que la culture occidentale s’avère coupable de sexisme, de racisme, d’homophobie, d’écocide et aussi d’impérialisme.

Sur le plan religieux, le wokisme, par souci de radicalisme laïc, souhaite abolir en priorité le catholicisme car c’est la religion qui ritualise le plus la culture occidentale (crèches ou les sapins de Noël, abattre la statue du Mt St Michel, ne plus souhaiter un « bon Noël », mais plutôt de « bonnes fêtes de fin d’année … en faveur d’une culture islamique !

La culture woke : une idéologie totalitaire

Qui véhicule une misogynie culturelle, voire une dévalorisation des femmes, sous prétexte d’émancipation et de libération de personnes discriminées. Apparue aux États-Unis dans les années 60 (un mouvement puritain « de décolonisation des femmes ») !

L’instinct maternel serait une « vaste supercherie » inventée lors de la révolution industrielle pour convaincre les femmes de rester à la maison, mais alors pourquoi ces instincts se retrouvent aussi chez tous mes mammifères ?

Mais cette culture de l’annulation (radicale) perdurera-t-elle ?

Après des échecs récents de ces derniers films, Disney souhaite à nouveau se consacrer à la création de belles histoires. Il faut dire que depuis plusieurs années, ses films étaient conçus avant tout sur des critères militants de l’idéologie dite « woke ». 

L’ennemi du Woke : notre conception nationale de la laïcité « à la française » qui implique la neutralité de l’État et impose déjà l’égalité de tous devant la loi sans distinction de religion ou conviction.

Ce mouvement indigéniste, écolo-gauchiste, néo-féministe utilise comme moyen de diffusion : la censure et le glaive :

  • Tout « dégenrer » de l’homophobie, afin de déterminer son sexe réel à volonté, selon ses aspirations du moment ;
  • Combattre la « suprématie du vieux mâle blanc hétéro » : pseudo-prédateur de la condition féminine. Voire castrer tous les hommes ;
  • Promouvoir le « génie Lesbien » (les pompiers de Los Angeles !)
  • Supprimer notre « État de droit » actuel et remplacer la présomption d’innocence pour mettre en place un régime de délation sur leurs critères idéologiques.
  • Il serait nécessaire de supprimer aussi : La séduction, le maquillage, la fantaisie vestimentaire … les compétions sportives genréess » ;

Certes pour tous ces faits, il y a des abus ! cela nécessite encore plus de réglementations. Tout est une question de mesure et de bon sens et surtout des règles à moduler, mais certains ont préféré par principe de tout interdire !

Il serait nécessaire dans un État de droit (une démocratie) de supra valoriser les minorités, de veiller pointilleusement à leur égalité des droits notamment juridiques et financiers.

Ce wokisme ne serait-il pas qu’une question de vengeance ?

Pourtant, le 21 novembre 2017, Une circulaire du Premier ministre établissait que :

  • Dans les textes réglementaires, le masculin est une forme neutre qu’il convient d’utiliser pour les termes susceptibles de s’appliquer aussi bien aux femmes qu’aux hommes ;
  • Les textes qui désignent la personne titulaire de la fonction en cause devaient être accordés au genre de cette personne ;
  • L’écriture inclusive ne devait pas être utilisée ;
  • Une représentation plus équitable des femmes dans les postes de direction et en politique :
  • Le mouvement #MeToo, né en 2017, sensibilisant le public également aux questions de harcèlement sexuel. (1er juillet 2018, Simone Veil est la cinquième femme à entrer au Panthéon) ;
  • Le 23 mars 2019, La loi de programmation 2018-2022 et de réforme pour la justice permet :
    • Le dépôt de plainte en ligne pour les faits de violence ;Des possibilités de placement sous surveillance électronique mobile des condamnés pour violences conjugales ;
    • L’éviction de l’auteur de violences conjugales du domicile.

Cependant, des inégalités subsistent encore

Notamment en ce qui concerne la violence domestique :

L’écart salarial et l’accès limité à certains postes de pouvoir.

Le combat pour l’égalité des sexes continue de nos jours :

– 26 juin 2019, Plan national d’action visant à éradiquer les mutilations sexuelles féminines ou chez les jeunes souhaitant devenir des « transgenres » ;

– 30 juillet 2020, Promulgation de la loi visant à protéger les victimes de violences conjugales ;

– 23 septembre 2020, Un décret met en place un dispositif électronique mobile anti rapprochement destiné à assurer le contrôle à distance des conjoints violents ;

– 21 avril 2021, À la suite d’affaires pénales fortement médiatisées dont les victimes étaient de petites filles. La loi visant à protéger les mineurs des crimes et délits sexuels et de l’inceste crée quatre nouvelles infractions dans le code pénal pour punir les actes sexuels sur les enfants.

Des mesures récentes face à ce wokisme

  • 16 mai 2022, Élisabeth Borne est nommée « Première ministre ». Trente et un an après Édith Cresson !
  • Le Journal officiel du 17 mai 2022 féminise la fonction, excepté dans le titre du décret, en application de la circulaire du Premier ministre de 2017 sur les règles de féminisation ;
  • 28 septembre 2022, Pour la première fois, un rapport parlementaire est consacré à l’industrie pornographique. Le rapport dénonce une industrie mondialisée « qui a fait de l’exploitation et de la marchandisation du corps et de la sexualité des femmes un business à l’échelle internationale » ;
  • 27 février 2023, Un rapport du Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes étudie l’impact du télétravail sur l’évolution des carrières des femmes et le risque pour elles d’être « réassignées à domicile » ;
  • 28 février 2023, Promulgation de la loi créant une aide universelle d’urgence pour les victimes de violences conjugales. Il s’agit d’une aide, sous la forme d’un don ou d’un prêt sans intérêts, afin de permettre aux victimes de quitter rapidement le foyer conjugal pour se mettre à l’abri et prendre un nouveau départ. Le remboursement du prêt peut être mis à la charge du conjoint, partenaire ou concubin violent ;
  • 25 mai 2023, En France, 87% des femmes déclarent avoir déjà été victimes de harcèlement ou de violences sexuelles ou sexistes dans les transports. Dans le cadre de la lutte contre les violences faites aux femmes, un comité d’action contre le harcèlement et les violences sexuelles et sexistes dans les transports a été mis en place.

Le wokisme en France 

Cette idéologie destructive a débuté durant la campagne présidentielle, avec la percée de Sandrine Rousseau à la primaire écolo, le mot « wokisme » est sur toutes les lèvres. Depuis, toute la classe politique est sommée de s’exprimer sur le concept du mouvement « woke ».

Il y a ceux :

–       Qui évitent soigneusement le sujet ;

–       Qui s’en réfère pour tout ;

–       Ou ceux qui rejettent en bloc cette idéologie.

Des philosophes ou d’universitaires français critiquent cette idéologie, affirmant qu’elle va à l’encontre de l’universalisme républicain français. Officiellement en France pas grand monde ne se réclame du wokisme. C’est plutôt devenu une tentative de disqualification de mouvements sociaux autour d’une pseudo défense extrémiste de minorités : du féminisme, du racisme, du genre, de l’écologie, de la colonisation, de l’éducation, de la culture, du pouvoir …

Une enquête de l’IFOP

En mars 2021, l’IFOP publiait un sondage intitulé : « Notoriété et adhésion aux thèses de la pensée woke, parmi les Français ». 

Cette étude révélait que les concepts du « wokisme » n’étaient que très peu connus des Français :

–       14 % des sondés avaient déjà entendu le mot ;

–       6 % du panel en connaissaient le sens ;

Le sondage démontrerait également que la compréhension des concepts exprimés dépendait de l’âge et du niveau de diplôme.

Les Français et leur élites (excepté des universitaires et certains experts des sciences humaines) sont psychologiquement plus matures et moins perméables à cette idéologie diabolique qu’aux US.

La lutte contre cette idéologie se fera par l’affirmation de nos idées républicaines et de laïcité. Les minorités religieuses ou sectaires doivent en effet s’adapter à la France où notre religion c’est la république.

Le wokisme et notre RSE

Les nouveaux RSE (Responsabilité Sociale et Environnemental) vont-ils se dissoudre dans le wokisme ?

À l’origine, l’objectif du RSE s’avérait comme une mesure de progrès social, de justice et de plus équité. Mais aujourd’hui on peut s’inquiéter sur le détournement de statut opéré par des activismes du wokisme à la recherche du pouvoir dans l’entreprise.

La culture woke, ou la « Cancel culture » qui dégouline des réseaux sociaux, ne se limitera pas à la critique du système, mais elle visera aussi les fondamentaux de l’économie de marché. 

En dénonçant avec violence :

–       Les injustices sociales ;

–       La lutte contre les inégalités ;

–       Une certaine aliénation des minorités ;

–       Parfois jusqu’à un supposé impérialisme de « l’homme blanc ».

La culture Woke s’attaque à l’existence même de l’entreprise privée et à son dogme fondé sur la concurrence, l’innovation et les profits comme facteurs du progrès et aux fondements même de l’économie de marché.

Le risque de contamination du RSE en France

Notre nouveau RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) en place en France, pourrait favoriser une forme de wokisme sous le couvert de plus de justice et de plus d’égalité. Déjà dans certaines grosses entreprises nationales on peut noter un rapprochement sensible entre les deux idéologies, via les injonctions des militants woke.

Ces entreprises doivent même parfois s’expliquer sur leur histoire, leur passé… et leur stratégie.

La très célèbre London School of Economics, a demandé la dissolution de la Hayek Society et de toutes les sociétés et associations qui sont « nuisibles aux étudiants marginalisés » ou qui prônent l’étude des « fondamentaux du libre-marché ». Pour soi-disant protéger les classes populaires.

Il est clair que des progrès sur les droits des femmes, sur l’égalité des genres … demeurent considérables. Sans doute il s’avère pour certains qu’ils restent encore insuffisants.

La lutte continue, mais sans violence, sans en recréer de nouvelles

Des discriminations de la culture woke :

Des avancées récentes :

– Au cours des dernières décennies, de nombreux pays continuèrent à renforcer les droits des femmes en adoptant des lois contre la violence domestique, en promouvant l’égalité des salaires ;

–  Les défis persistants : Malgré les progrès accomplis, de nombreux défis subsistent. Les inégalités salariales, la violence à l’égard des femmes et les discriminations persistantes demeurent des problèmes importants dans de nombreuses régions du monde. Les mouvements féministes continuent de militer pour l’égalité totale.

Mais pour autant, la culture Woke serait à ce jour en phase de déclin ?

En conclusion :

L’histoire des droits législatifs des femmes devient une histoire de lutte constante pour l’égalité, un combat pour le droit de vote et à la lutte contre les discriminations au travail. Les femmes gagneront au fil du temps : des droits politiques, économiques et sociaux …

Bien que d’énormes progrès se réalisent, il reste encore beaucoup à faire pour atteindre une véritable égalité des sexes à travers le monde. Cependant, chaque étape de cette histoire montre la détermination et la résilience des femmes dans leur quête de justice et d’égalité.

La lutte pour les droits des femmes doit continuer, alimenté par l’engagement des militantes et des défenseurs de l’égalité des sexes à travers le monde :

La bienvenue campagne #MeToo, a permis à de nombreuses femmes de sortir de la violence (sexuelle) « traditionnelle », culturelle, Dans des pays dits « civilisés », mais comme souvent, certaines féministes radicales l’ont chevauchée avec excès ! Pour mener leur combat, en particulier dans :

       – Dans le cinéma, et le monde artistique :

       – Certains sports (le tennis, la natation…) ;

       – Dans les médias, les universités, les Grandes Écoles ;

       – Dans de grandes entreprises ;

       – Et quelques hommes de pouvoir (politiques).

–       Certains sports (le tennis, la natation…) ;

–       Puis dans les médias, les universités, les Grandes Écoles ;

–       Aujourd’hui les politiques sont épinglés ;

Ces maltraitances contre les minorités existent depuis toujours, Qu’elles soient dénoncées en ce moment c’est une énorme avancée, bien qu’elles ne soient pas encore vraiment sanctionnées.

Cette révolution culturelle – « cancel culture ou culture de l’annulation »

Elle a imposé aux États-Unis via une radicalisation des esprits qui oppose les femmes contre les hommes. Les blancs contre les noirs. Les jeunes (les milleniums) contre les vieux… Au point d’exercer une influence « quasi religieuse », au détriment du fameux protestantisme actuel, voire de prendre sa place dans un nouveau puritanisme américain.

À l’exemple de son voisin, le Canada (moins au Québec) tombe dans un certain wokisme, qui contamine en premier les « fabriques » de mentalités de demain, à travers les universités, la culture et nombre de médias.

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