*Extrait d’un livre en phase d’écriture : « Sauvons Mayotte », son avenir ?
L’avenir de #Mayotte
La mesure fondamentale pour un avenir Français à Mayotte reste : de résoudre l’immigration massive insoutenable et incontrôlée sur cette île dévastée qui provoque :
- 150 000 migrants en situation irrégulière, 300 nouvelles arrivées par jour (en fortes progressions depuis le cyclone et la baisse de surveillance des côtes de Mayotte !)
- Des mineurs non accompagnés qui représentent une forte pression sur les infrastructures scolaires et sociales. Ils provoquent aussi une grave situation de violences et d’insécurité ;
- Un taux de pauvreté sur l’île qui avoisine les 80 %, et des systèmes de santé et sociaux largement saturés ;
- Des filières très bien organisées qui facilitent l’arrivée de migrants sur l’île à la fois des Comores et nouveau : de l’Afrique de l’Est. (le président des Comores posséderait une entreprise qui fabrique les petites embarcations des migrants !)
Ce sujet n’est pas nouveau et constitue d’ailleurs la principale erreur voire la faute de l’État commise par plusieurs présidents de la République, des gouvernements successifs, notre Parlement, le Conseil constitutionnel, tous accompagnés d’une administration qui a laissé faire, voire été complice, de la LFI (la France Insoumise) qui assisté d’un juge a empêché de détruire récemment une partie (petite) des bidonvilles de Mayotte (l’opération Wuambushu).
Au point qu’on serait en mesure de leur demander à tous : des comptes judiciaires, sur leurs responsabilités dans les conséquences et même sur les victimes du récent cyclone Chido.
Une question s’impose peut-on encore leur conserver notre confiance pour régler une situation à ceux qui ont laissé perdurer, sinon créer cette situation catastrophique ?
Une autre question sur cet avenir
(que personne n’ose encore formuler) :
La France est-elle encore capable de gérer dignement la gestion de Mayotte … comme d’autres terres d’outre-mer d’ailleurs ?
Peut-on encore accueillir tous ces migrants au sein de la France ? Ou ne devrait-on passer la main : de leur accorder l’autonomie, voire l’indépendance. (On ne parle plus d’accueillir « toutes les misères du monde », mais de traiter dignement et égalitairement, « à la Française » tous les territoires français ?
L’ONU ne pourrait-elle pas nous déchoir de notre parentalité sur certains de nos départements ?
Si une catastrophe (l’Etna) se produisait en Sicile (géographiquement au sein de l’Europe) les secours et aides de l’Europe seraient massifs et rapides. Mayotte est à 8 000 km, et la France trop fière pour obtenir de l’aide extérieure, pour ce territoire Européen !
C’est dire si ces questions demeurent fondamentales ! Et qu’elles demandent des solutions en actes et non plus en promesses électorales.
Le défilé de responsables politiques à Mayotte pour se montrer devant les caméras est insupportable pour les victimes et pour les métropolitains agtristés.
Pour cet avenir, des mesures possibles à prendre
- Remettre en cause, temporairement, notre droit du sol, dans certaines conditions ou pour des situations exceptionnelles. Cette mesure pourrait être rapide puisque déjà abordée au Parlement cette année ;
- Que notre Marine Nationale se charge en priorité de protéger nos eaux territoriales, toutes nos eaux territoriales ! Nous en avons sûrement les moyens encore faut-il en avoir la détermination ! (Sans oublier de contrecarrer les ambitions Chinoises sur nos eaux du Pacifique).
- Évacuer les réfugiés clandestins, vers leur lieux d’origine, car l’importance des dégâts impose de faire de la place pour commencer les travaux
- Ou est notre navire hôpital le Tonnerre ? en octobre il a quitté Toulon pour Gaza !
- Augmenter les patrouilles maritimes pour lutter contre les débarquements, voire les reconduire sur le champ aux Comores. Ceci reste indispensable !
- Les appels d’air pour émigrer en France (et celui de notre carte vitale) est universel, peut-on continuer à dispenser nos avancées sociales à : « toutes les misères du monde » ?
- En avons-nous encore les moyens financiers ?
- Exercer (de force si nécessaire) une pression sur les autorités des Comores, qui nous ont déjà déclaré la guerre à l’ONU, pour qu’elles ne favorisent plus les traversées vers Mayotte (à 70km) et pour reprendre leurs réfugiés après le cyclone (avant tout, de ne plus leur verser notre aide financière annuelle à leur développement !) ;
- Augmentation importante des tensions (voire racistes) entre les Mahorais et les nouveaux arrivants ;
- Développer, si possible des coopérations avec les Comoriens avec des accords bilatéraux pour des rapatriements volontaires, éventuellement accompagnés d’incitations financières ;
Mais en sommes-nous encore capable ?
Si nous ne sommes plus capables de traiter dignement nos citoyens extra-marins, si nous n’en n’avons plus les moyens, alors il ne faut pas les abandonner comme on l’a fait pour Mayotte, (laisser faire une sorte de « sélection naturelle ») et de les abandonner tels des sous-citoyens à un sort funeste.
Il faudrait peut-être envisager calmement une évolution digne d’un nouveau statut pour eux.
« Il ne suffit pas de vouloir quelque chose, pour l’obtenir ».
Des mesures d’urgence sur l’Île de Mayotte
- Recenser les populations (légales et illégales) ;
- Construire des structures d’accueil temporaires, mais dignes : des « camps de réfugiés » en cette partie de la France ! (il sera très difficile de ne pas avoir recours aux tôles ondulées, sur place ;
- Fournir des services de base (santé, alimentation, éducation) dans ces camps ;
- Lutter contre les discriminations (racistes) au sein de l’île et de promouvoir une cohésion sociale entre Mahorais et migrants ;
- Endiguer une immigration de masse actuelle.
Conclusion :
À l’avenir, la gestion de l’immigration à Mayotte nécessite une approche à la fois humaine et pragmatique. Il est essentiel de répondre aux besoins immédiats tout en traitant les causes profondes de cette crise, mais dans la limite des possibilités de notre pays ;
Un engagement concerté entre la France, les Comores et les acteurs internationaux demeure indispensable pour parvenir à une solution durable.
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