900 personnes interpellées : 50 assassinats et 123 blessés en 2023 (souvent des jeunes).
Devant une commission sanatoriale, quatre magistrats affirment que Marseille est gangrénée par la drogue et des violences, depuis une douzaine d’années, voire plus avec la « French connexion » des années des 70-80. Pourtant les moyens mis en œuvre sont considérables.
À Marseille (la plus grande ville algérienne) :
– Il ne faut pas seulement changer notre état de droit, mais instaurer un droit spécial « anti-drogue » à l’exemple de l’Italie (Palerme) contre les mafias, voire comme au Salvador dans sa campagne « antigang », avec la construction d’une immense prison de 40 000 places. Pour 10 000 € on peut commanditer un assassinat : les tarifs sont affichés sur les murs de certains quartiers, avec les prix de la drogue !!! ;
– Ne serions-nous pas déjà face à des corruptions au niveau de la justice et de la police, pour arriver à un tel décalage entre les problèmes à traiter et les mesures réellement mises en place ?
– N’est que le haut de l’iceberg (en solutionner en priorité), car là, « la guerre est déjà perdue », mais toute la France. La ville ne risque-t-elle pas de devenir une « Narco nation » ? Toute l’Europe (la Belgique) s’avère également contaminée par cette mondialisation de la drogue ;
– La respectabilité n’y est possible que si on est un dealer, au sein d’une immigration mondiale, incommensurable. Depuis plus de 30 ans les mêmes causes produisent les mêmes effets.
Tout le monde connait le problème dans cette ville.
– Les acteurs de Justice risque même leur vie tous les jours (le juge Michel assassiné en 1981).
– Les politiques manquent de courage ! Ils ne sont plus dans le déni, ils ont vu Dieu ! Napoléon (je crois) disait qu’avec des courtisans on ne se construit pas un empire on se fait une cour
– Mr Macron a fait de Marseille « le grand Marseille », une priorité, on voit le résultat.
À Marseille on assiste :
- Une féminisation des délinquants (comme dans les mafias calabraises) ;
- On pourrait mettre un frein à des cabinets d’avocats (sans entacher les droits des détenus qui déposent pour un même détenu une demande de remise en liberté chaque jour et même parfois plusieurs fois par jour, pour pousser à des erreurs de procédure.
- La présence de portables (pour permettre la continuité du business) voire d’armes dans les prisons ;
- L’apparition du crack dans la ville phocéenne.
Si je devais choisir une seule mesure ce serait une forte pénalisation des consommateurs, complices de ces trafics.
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